Nicolas Sarkozy restera le grand ministre de lIntérieur sous la Vème République
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Le départ
Nicolas Sarkozy a montré du premier au dernier jour, au sein de ce ministère, et en agissant bien au-delà des problèmes de sécurité (aide aux victimes, politique de l’immigration, création du conseil français du culte musulman, laïcité, identité nationale, sécurité routière, etc.), que la politique pouvait changer la vie.
Dans la lutte contre la délinquance, des résultats très importants ont été obtenus. Moins de 9,24% des crimes et délits entre 2002 et 2006 alors qu’entre 1998 et 2002, ils avaient augmenté de 17,8%. La délinquance sur la voie publique a reculé de 24% depuis cinq ans. Entre 1998 et 2002, elle avait augmenté de plus de 10%. Nicolas Sarkozy a chargé l’office l’observatoire national de la délinquance, instance indépendante, la mission de publier en toute transparence les chiffres de la sécurité.
Dans le domaine de l’immigration, Nicolas Sarkozy a pleinement tenu ses promesses.
Nicolas Sarkozy a également laissé son empreinte lorsqu’il était ministre de l’Économie. Trois exemples forts : le sauvetage réussi d’Alstom, la baisse des produits de grandes marques dans la grande distribution. Il a été le premier à revenir parler au journal de 20 heures du panier de la ménagère. Enfin, il a été le premier aussi à parler de la dette et du déficit public en étant l’initiateur du rapport
Ce sont aujourd’hui l’expérience et les résultats qui crédibilisent le mieux sa candidature à l’élection présidentielle.
Lors de la conférence de presse de l'UMP du 26 mars 2007, Luc Chatel a tenu à saluer les performances de Nicolas Sarkozy lors de ces mandats de Ministre des finances et de l'intérieur. En parallèle, Valérie Pécresse a rappelé que selon l'étude d'un institut indépendant, le programme économique de Nicolas Sarkozy est le seul capable de relancer la croissance contrairement à ceux de François Bayrou et de Ségolène Royal. Ces derniers qui le week-end du 23 mars ont dévoilé leurs idées sur les thèmes de l'immigration et de la Nation sont jugés "irresponsables" et "désinvoltes" face aux réalités de la vie quotidienne des Français.